Sur la Mappemonde

Il y a cette chanson qui me trotte dans la tête, depuis que nous sommes allés voir Les Soeurs Boulay à côté de chez nous (à moins que ça ne soit après le drama de couple qui les précédait et qui s'en est suivi et... ahlala): Mappemonde.

Quitte à ne plus dormir de la nuit à force d'entendre toujours les mêmes notes, j'ai décidé de ne plus me focaliser sur l'intégralité des paroles de la chanson, et d'en garder le seul point positif: LE TITRE (!)
Et plutôt que de me lancer dans des revivals mélancoliques des voyages passés (c'est bien comme ça que ça marche non, les voyages? La joie avant, la mélancolie après?) je pense à ceux que j'aimerais voir venir.

Il y a l'Asie.
Tokyo en fut un avant-goût délicieux et je meurs d'envie, non seulement d'y retourner, mais aussi de voir autre chose.
Le reste du Japon, le Vietnam, la Thaïlande, la Corée, peut-être la Chine, le Népal...
J'aime me promettre ces voyages où le ressenti sur place est infiniment plus subtil que tout ce qui peut être décrit par ceux qui y sont ou qui en reviennent. Et puis il y a ces langues, que j'aimerais tant connaître, juste pour baragouiner et pour savoir remercier correctement l'extraordinaire amabilité des locaux.

Il y a le Nord de l'Europe.
Je l'envisage comme une destination douillette et accueillante, où l'on pourrait prendre notre temps (mon temps? ... ahlala) et s'envelopper de réconfort et de coolitude.

Il y a le Canada.
Mais ça le Canada, j'en ai tellement envie que je crois que je serais obligée d'y rester. Après tout ils ont Tricot Machine et Xavier Dolan. Je devrais me dénicher une famille pour m'y adopter, pour m'apprendre leur anglais et leur accent et pour oublier toute la mochitude de Paris.

BREF, comme je reste une étudiante fauchée cet été ce sera la Bretagne. En camping. (En famille!).
Dieu du ciel...

(Oui alors on ne va pas parler de la forme de cette guitare aujourd'hui, mais je crois que c'est un vrai sujet)

Comments

[Kolibri]

Toi,

toi qui laisse un petit mot sur mon blogue,

toi qui écrit si bien et que je découvre.

Avec bonheur, teinté de sentiments étranges,

de ceux que l'on a lorsque l'on découvre un monde.

Un monde qui tourne un peu dans tous les sens,

mais qui a une douceur, une fébrilité, une beauté.



Je suis heureuse d'avoir croisé tes mots.

Heureuse de me dire que je les croiserais encore.

À bientôt.



Kolibri